D’une part, il y a le dialogue et la stabilité, et d’autre part, il y a
la mémoire et la justice. Les uns n’empêchent pas les autres. Saad
Hariri et le 14-Mars le prouvent aujourd’hui. Le premier, par ses
positions récentes et sa visite impromptue à Beyrouth le jour de
l’assassinat de Rafic Hariri, et le second, par son attachement à l’Etat
libanais et à ses institutions. Toute la question étant de savoir que
peuvent faire Hassan Nasrallah et le 8-Mars pour le prouver ?