Beaucoup
de monde ont regretté que John McCain ne soit pas à la maison blanche à la
place de Barack Obama dès 2008. Surtout ces derniers jours. Notamment les
excités de la gâchette au Liban, en Syrie et dans le monde arabe. Voire même du
côté israélien et de par le monde entier. Ce vétéran du Vietnam est présenté
comme l’homme de la situation, l’homme qui peut faire face à l’abjecte Poutine,
au dernier tyran de Damas, aux fascistes iraniens et au terroriste Hezbollah. Le
gars qui sait trancher, quoi ! Pas comme cet Obama-mollasson, prix Nobel
de la paix, obtenu par piston ou par compassion pour ces blacks origines, plongé
dans la tergiversation au lieu de lancer illico presto l’armada américaine sur les forces du
mal.

John
McCain est contre des frappes timides. Il est partisan d’une intervention
musclée des États-Unis en Syrie. Et comme d’habitude en pareille circonstance, disons heureusement
que le ridicule ne tue pas, pour qu’on puisse en rire.