Ce que je m’apprête à vous conter est inspiré d’une histoire vraie qui s’est déroulée ces derniers jours dans notre contrée d’Orient avec un dénommé Wary Fox qui vient de perdre son réfrigérateur après cinq années de bons et loyaux services. Il n’est pas le seul Libanais en panne, le cimetière des appareils électroménagers et électroniques au Liban est jonché de victimes innocentes d'un courant électrique aussi défaillant que les dirigeants du pays.
Toujours est-il qu’aujourd’hui le conseil municipal de #Beyrouth s’est réuni en grande pompe pour débattre d’un dossier important. Il est déterminé ni plus ni moins à installer un incinérateur d’ordures ménagères dans la capitale libanaise. Si le projet voit le jour, jusqu’à 200 tonnes de déchets pourraient être brûlés chaque jour aux nez des Libanais et l’exemple sera suivi par d’autres municipalités.
On vous dira qu’il y aura des « filtres », qu’on sera dans les « normes » et que nous ferons comme en « Suède ». N’importe quoi ! Nous vivons dans un pays négligeant au plus haut degré, où les normes ne sont jamais respectées, rongé par la corruption, ravagé par l’incompétence, guidé par l’ignorance, surendetté à 150% de son PIB, ayant une densité humaine de 600 habitants par km2, dont l’électricité est de très mauvaise qualité et qui récolte quatre avis divergents pour réparer un réfrigérateur ?
La municipalité de Beyrouth tente depuis un an de produire un film en France et au Liban pour « mettre en lumière les solutions suivies (à l’étranger) pour transformer les déchets en énergie », au lieu de commander un documentaire sur le tri des ordures ménagères en Suisse, où tout est trié jusqu’à l’huile de friture par les gens eux-mêmes. Mais justement, c’est là où le bât blesse, le tri n’intéresse pas la municipalité de Beyrouth, pas plus qu’il n’intéresse le ministère de l’Environnement et même le gouvernement et les députés libanais.
Avant qu’il ne soit trop tard, disons NON aux incinérateurs d’ordures ménagères au Liban, OUI au recyclage et à la réduction du volume des déchets. Personnellement, je suis carrément pour la #décroissance. Sinon, nous devons nous préparer à assumer les conséquences morbides de l’installation de ces fourneaux en bas de nos fenêtres.
Toujours est-il qu’aujourd’hui le conseil municipal de #Beyrouth s’est réuni en grande pompe pour débattre d’un dossier important. Il est déterminé ni plus ni moins à installer un incinérateur d’ordures ménagères dans la capitale libanaise. Si le projet voit le jour, jusqu’à 200 tonnes de déchets pourraient être brûlés chaque jour aux nez des Libanais et l’exemple sera suivi par d’autres municipalités.
On vous dira qu’il y aura des « filtres », qu’on sera dans les « normes » et que nous ferons comme en « Suède ». N’importe quoi ! Nous vivons dans un pays négligeant au plus haut degré, où les normes ne sont jamais respectées, rongé par la corruption, ravagé par l’incompétence, guidé par l’ignorance, surendetté à 150% de son PIB, ayant une densité humaine de 600 habitants par km2, dont l’électricité est de très mauvaise qualité et qui récolte quatre avis divergents pour réparer un réfrigérateur ?
La municipalité de Beyrouth tente depuis un an de produire un film en France et au Liban pour « mettre en lumière les solutions suivies (à l’étranger) pour transformer les déchets en énergie », au lieu de commander un documentaire sur le tri des ordures ménagères en Suisse, où tout est trié jusqu’à l’huile de friture par les gens eux-mêmes. Mais justement, c’est là où le bât blesse, le tri n’intéresse pas la municipalité de Beyrouth, pas plus qu’il n’intéresse le ministère de l’Environnement et même le gouvernement et les députés libanais.
Avant qu’il ne soit trop tard, disons NON aux incinérateurs d’ordures ménagères au Liban, OUI au recyclage et à la réduction du volume des déchets. Personnellement, je suis carrément pour la #décroissance. Sinon, nous devons nous préparer à assumer les conséquences morbides de l’installation de ces fourneaux en bas de nos fenêtres.