La première chose qui frappe dans l’article de Ben Hubbard, c’est son manque d'originalité et de consistance. 9 000 caractères, essentiellement des copier-coller à partir d'articles sud-africains parus en 2013-2018, et en plus, mis à part quelques infos basiques, l’essentiel ne dépasse pas ce titre racoleur : « Le Premier ministre libanais a donné 16 millions de dollars à une mannequin sud-africaine » pour ses bons et loyaux services pendant son éloignement du grand Sérail. Tout est jeté en pâture sans documents à l’appui, sans preuves, sans liens, sans rien, que « des rumeurs et des ouï-dire », justement tout ce qu’il voulait éviter, à part le jugement de la Cour suprême sud-africaine datant du 28 mai 2015, qu’il n’a même pas lu.
Mon enquête sur ce nouveau scandale a permis de révéler l’existence possible de quatre protagonistes et non deux : Candice-Jean van der Merwe, Candice Jean, Saad #Hariri et Mohamad Rawas. Ça fait beaucoup de monde pour deux têtes d'affiche ! Ce dernier nom était même sous les yeux du journaliste américain, il ne l’a pas vu. Si Ben Hubbard s’était donné la peine de lire le jugement de la Cour suprême d'Afrique du Sud, il aurait évité le ridicule de la situation et appris au passage que non seulement le nom de Saad Hariri n’y figure pas, mais en plus, il aurait découvert que « par la suite, et comme l'a indiqué le requérant (Candice, une affirmation dite sous serment !), "un montant de 15,3 millions de dollars américains m'a été remis par M. Mohamed Rawas" ».
Hélas, l’article de Ben Hubbard est bâclé. Au moins en l’état ! Au chef du bureau du #NewYorkTimes à Beyrouth de réagir pour lever le doute sur son travail et ce manque de professionnalisme flagrant dans cette affaire. La copie est à revoir si l’intéressé veut être pris au sérieux. L’ironie de l’histoire est que le New York Times reproche souvent au président américain ses fake news, sa désinformation et ses raccourcis, sans se rendre compte qu’il lui arrive parfois de faire du Trump, comme dans le cas présent. Mais ouiii Ben, ce n’est parce que tu es installé à Beyrouth qu'il faut bâcler le travail, wou tetkaslann 😋
Mon enquête sur ce nouveau scandale a permis de révéler l’existence possible de quatre protagonistes et non deux : Candice-Jean van der Merwe, Candice Jean, Saad #Hariri et Mohamad Rawas. Ça fait beaucoup de monde pour deux têtes d'affiche ! Ce dernier nom était même sous les yeux du journaliste américain, il ne l’a pas vu. Si Ben Hubbard s’était donné la peine de lire le jugement de la Cour suprême d'Afrique du Sud, il aurait évité le ridicule de la situation et appris au passage que non seulement le nom de Saad Hariri n’y figure pas, mais en plus, il aurait découvert que « par la suite, et comme l'a indiqué le requérant (Candice, une affirmation dite sous serment !), "un montant de 15,3 millions de dollars américains m'a été remis par M. Mohamed Rawas" ».
Hélas, l’article de Ben Hubbard est bâclé. Au moins en l’état ! Au chef du bureau du #NewYorkTimes à Beyrouth de réagir pour lever le doute sur son travail et ce manque de professionnalisme flagrant dans cette affaire. La copie est à revoir si l’intéressé veut être pris au sérieux. L’ironie de l’histoire est que le New York Times reproche souvent au président américain ses fake news, sa désinformation et ses raccourcis, sans se rendre compte qu’il lui arrive parfois de faire du Trump, comme dans le cas présent. Mais ouiii Ben, ce n’est parce que tu es installé à Beyrouth qu'il faut bâcler le travail, wou tetkaslann 😋